Temple et Tradition
Accueil
Temple et traditions
Détail de l'auteur
Auteur PARACELSE |
Documents disponibles écrits par cet auteur (2)
Affiner la recherche
Les prophéties de Paracelse / PARACELSE
Titre : Les prophéties de Paracelse Type de document : texte imprimé Auteurs : PARACELSE, ; Armel GUERNE, Traducteur Editeur : Le Rocher Année de publication : 1985 Importance : 128 p., broché Présentation : couverture illustrée, illustrations, annexes Format : 20 cm x 13 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-268-00340-5 Note générale : Traduction d'Armel Guerne
Alchimiste, kabbaliste, astrologue, médecin, Paracelse ( né en 1493) est l'une des plus extraordinaires figures de la période troublée séparant le Moyen Âge de l'ère moderne. Temps d'angoisse, de remise en question, de mutations sociales et spirituelles qui, par bien des aspects, ressemble à l'époque que nous vivons.
A l'instar du fameux Nostradamus, Paracelse a prophétisé. Pour lui, l'avenir du monde et du genre humain dépend du ciel et des astres. "La rose, dit-il, ne sera pas la fin des conflits et des guerres... Il se fera une rénovation si grande et telle mutation , nous deviendrons comme des enfants. "Oui, il y aura invasions et barbarie mais aussi un réveil....Ce qui doit se faire, c'est une certitude solide comme un roc et lumineuse comme aux commencements".
Le texte des Prophéties de Paracelse est donné ici avec les figures qui l'accompagnent et en augmentent la portée, en raison de l'extraordinaire richesse symbolique de l'iconographie, qui n'est pas sans évoquer l'univers des stalles de la fin du Gothique etd e la Renaissance. (quatrième de couverture).Langues : Français (fre) Catégories : Occultisme [20] Index. décimale : 10.19 Paracelse Note de contenu : Table des matières
Présentation par Philippe Camby
Texte, traduction et figures des Prophéties de Paracelse, traduites par Armel Guerne et commentées par Jean-Charles Pichon
Annexe 1: l'homme prophétique, par Armel Guerne
Annexe 2: Les trois clés des Prophéties, par Jean Charles Pichon
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01581 10.19 PAR imprimé / autre Bibliothèque principale Membres Disponible Les sept livres de l'archidoxe magique / PARACELSE
Titre : Les sept livres de l'archidoxe magique : traduits en Français et précédés d'une introduction et d'une préface par le Docteur MARC HAVEN Type de document : texte imprimé Auteurs : PARACELSE, Editeur : Editions Bussière Année de publication : 1960 Importance : 98 p.; broché Présentation : cent gravures et tableaux; huit planches; en frontispice un portrait de Paracelse Format : 25 cm x 16,5 cm Note générale : Préface du Dr. Marc Haven
Au commencement du XVIe siècle, alors que toute la science somnolait en répétant les oracles d’Avicenne et de Galien, apparaît l’homme à la voix forte, médecin et chimiste, qui se dresse en adversaire des lois établies, brûle les livres médicaux des Grecs et des
Arabes, parle philosophie en langue vulgaire, guérit les malades contre toutes les règles de l’art et court l’Europe, buvant avec le premier venu, bataillant avec beaucoup, étudiant avec tous. Son rôle fut si grand qu’à son époque même, son nom souleva des émeutes. Paracelse eut des disciples fidèles, des admirateurs bruyants, des malades reconnaissants jusqu’à la dévotion; il eut aussi, parmi les
médecins, des ennemis féroces dont la violence justifie assez les apostrophes véhémentes qu’on lui a si souvent reprochées. Ce «monstre vomi par l’enfer », ce « chemineau innommable » comme l’appelaient les Eraste, les Dessenius (1) et tant d’autres confrères
dont la boutique se désachalandait, faisait rire les malades et gémir les apothicaires de Rome à Londres et de Paris à Varsovie ; aucun homme, sauf plus tard Cagliostro, ne suscita pareil tumulte autour de lui. Quand ses ennemis crurent l’avoir enfin bien et
dûment enterré —on dit même qu’ils aidèrent fort à cet événement— ce fut pis encore : une pléiade de disciples surgit glorifiant le maître, soignant les malades selon ses rites, oubliant ses arcanes. Les Rhenanus, les Camerarius témoignaient de ses merveilleux pouvoirs ; ils avaient vu à Munich, ils gardaient à Nuremberg de l’or fait par lui avec un vieux clou en fer, et qui restait encore moitié fer, moitié or; les Crollius, les Thurneyser commentèrent et éclaircirent ses doctrines. Critiques, apologistes, exégètes, traducteurs, forcèrent les savants des XVIe et XVIIe siècles à ne penser que par lui, à ne parler que de lui. Le souffle de liberté et de vie nouvelle qui passait, avec son nom fit flotter la bannière des Rose-Croix. Son influence traversa le XVIIIe siècle : Van Helmont, c’est Paracelse encore.
De nos jours, alors que des siècles nous séparent de son époque, que l’histoire s’est éclairée et que la science a progressé, il semble que le nom de Paracelse ne devrait plus présenter d’intérêt ni susciter de travaux. Or, il n’en est rien : dix ans ne se passent pas
depuis le début du siècle sans que, tour à tour, et avec la plus vive ardeur, un défenseur ou un critique ne se lève pour parler du Roi des Arcanes. Ce mort ne laisse pas les vivants en repos ; les uns, innovateurs de quelque thérapeutique, —magnétisme, homéopathie, opothérapie, etc.— rencontrant dans une citation de Paracelse un mot qui les étonne, se reportent au texte, s’ébahissent de découvrir l’idée mère de leur système déjà formulée par le grand alchimiste, et Paracelse réapparaît sur la scène derrière quelque spécialiste original. Les classiques, au nom de la doctrine médicale du jour, protestant contre l’innovateur et plus encore contre Paracelse ; quelques indépendants se mêlent au débat; c’est ainsi que nous avons vu Schultz, Marx, en Allemagne ; Bouchut, Cruveilher, en France n’hésitant pas à placer Paracelse avant Montaigne et Rabelais, à en faire le précurseur de toute science, le rénovateur de la médecine, tandis
que Daremberg et Chevreul n’y voient, l’un, qu’un médiocre imitateur des anciens, l’autre qu’un fou ignorant et prétentieux. Comment expliquer cette contradiction ? Pourquoi cette polémique renaissant toujours, ce brouillard enveloppant l’étrange figure du médecin d’Einsiedeln ? C’est que Paracelse, comme beaucoup de mystiques, sentait les choses plus qu’il ne les pensait: il essayait de les exprimer avec des termes nouveaux ou détournés de leur acception habituelle, sans grand souci de ses auditeurs ; l’évidence qu’il avait
du fait lui semblait devoir illuminer de même celui qui l’écoutait. Les Bœhme, les Wronsky n’ont-ils pas fait de même ? Son œuvre, incomplètement traduite d’un haut allemand plein de ces néologismes spéciaux en un latin douteux, est donc restée toujours mystérieuse. Quelques traductions françaises partielles comme celles de la Grande et de la Petite Chirurgie sont peu répandues ; si bien que le texte de Paracelse est encore inconnu même des érudits. Daremberg, l’un des hommes les plus instruits que nous ayons eus sur ces matières et qui a consacré sa vie à l’étude des doctrines médicales, n’avoue-t-il pas lui-même qu’il n’a pas lu tout Paracelse et qu’il a dû péniblement en traduire pour son usage personnel quelques passages ?
Aujourd’hui où la connaissance du latin disparaît, hélas ! à grands pas, la publication d’une traduction de l’Archidoxe Magique présente un intérêt capital, et nous espérons que d’autres traités de Paracelse nous seront encore donnés ; tout lecteur habitué aux auteurs hermétiques et aux philosophes mystiques, étudiant sans parti-pris les œuvres de notre auteur, y trouvera de grandes et fécondes vérités au milieu de beaucoup d’obscurités voulues (2) ou inévitables. Il estima d’abord l’œuvre de Paracelse pour les enseignements qu’il y puisera ; puis il aimera l’auteur, comme nous l’avons fait, en l’étudiant de plus près dans sa vie débordante d’activités ; car ses livres ne
sont qu’une portion de lui-même, la plus petite, la moins vivante ; ses actes, ses sentiments, révèlent plus puissamment encore l’esprit qui l’animait. S’il eût vécu de nos jours, il eût été pour nos sciences actuelles, fortes de leurs admirables découvertes et de leurs énergiques intransigeances, un révolutionnaire d’une bien autre envergure, un semeur de bien plus extraordinaires moissons. C’est ainsi qu’il faut songer à lui ; c’est ainsi qu’on peut l’admirer sans réserves, en le désaffublant par la pensée du costume suranné et du bizarre accoutrement sous lequel nous sommes habitués à le considérer; alors, au travers du Paragranum mystérieux, du Labyrinthus décevant, ou de l’Archidoxe magique, tout constellé de talismans, nous pourrons évoquer, en vérité, l’esprit de Paracelse.
Langues : Français (fre) Catégories : Ésotérisme général [42] Index. décimale : 10.19 Paracelse Note de contenu : Table des matières
Préface
Introduction
Livre I :
De la céphalée ou douleur de tête
Contre le mal caduque ou épilepsie
Figure pour conserver la vue
Contre la consomption ou tabès et autres maladies du cerveau
Secret puissant contre la paralysie
Contre le calcul et sables des reins
Des parties génitales
Comment assurer une longue vie au cheval
Onguent vulnéraire
Onguent des armes
Contre la goutte aux pieds
Onguent sympathique contre la goutte
Contre la paralysie ou contracture
Pour les menstrues des femmes
Contre la lèpre
Contre le vertige
Contre le spasme
Contre les palpitations du coeur
Préparation d'huile de corail et de succin
Pour la fracture des os
Livre II - Des sceaux des douze signes du Zodiaque et des secrets qu'ils renferment
Bélier
Taureau
Gémeaux
Cancer
Lion
Vierge
Balance
Scorpion
Sagittaire
Capricorne
Verseau
Poissons
Livre III
Des troupeaux
Contre les mouches
Livre IV - De la transmutation des métaux et des époques
Exemple
Appendice - signification astrologique des métaux
Livre V - de la constellation du miroir (magique) - tableau astrologique pour la construction du miroir magique
Livre VI - de l'alliage des métaux
Livre VII - des sceaux des planètes
Sceau de Saturne
Sceau de Jupiter
Sceau de Mars
Sceau du Soleil
Sceau de Vénus
Sceau de Mercure
Sceau de la Lune
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01582 10.19 PAR imprimé / autre Bibliothèque principale Membres Disponible